À propos des premiers symptômes et des résultats du traitement du cancer de la prostate

Je souffre d'hyperplasie bénigne de la prostate (HBP) depuis 10 ans. Pendant cette période, je passais une échographie une fois par an, car on m'avait dit que l'HBP pouvait évoluer en cancer de la prostate. Mais il y a six mois, j'ai dit à mon médecin que je ne me sentais pas bien, et il m'a prescrit une nouvelle échographie, même si cela ne faisait que six mois que j'en avais passé une. J'ai reçu les résultats une semaine plus tard, mais l'attente m'a paru interminable. Une fois les résultats en main, il m'a dit que, compte tenu de leurs anomalies, je devais faire des examens complémentaires dans un grand hôpital.

J'ai donc passé une échographie et une biopsie tissulaire à l'hôpital universitaire d'Ajou.

Les résultats étaient précoces, mais il s'est avéré qu'il s'agissait d'un cancer de la prostate. J'avais de grandes difficultés à uriner et une sensation d'urine résiduelle.

La polyurie nocturne était particulièrement importante. La cause n'était ni des antécédents familiaux ni l'âge avancé ; il semblait plutôt s'agir d'un problème lié aux habitudes alimentaires. Comme l'a indiqué le médecin, la maladie était à un stade précoce et a donc été traitée simplement par une intervention mineure et une hospitalisation d'une journée.

Après l'intervention, il est particulièrement important de modifier votre alimentation en passant d'un régime à base de viande à un régime à base de légumes.

J'essaie de maintenir ce rythme. Je continue à passer des échographies tous les six mois et je fais également des analyses de sang régulières pour doser mon PSA.